🌌 SUBORBITAL RECORDS

“Between silence and signal, we found each other.”


🛰️ Origine

Fondé à Levski (Delamar)
 Fondateur : Nok Varen
 Genre : Electronic, Ambient, Folk, Experimental
 Philosophie : “No stage, no stars — just frequencies that connect.”


🚀 Histoire

SubOrbital Records n’est pas né d’un business plan, mais d’un pari un peu fou.
Son fondateur,
Nok Varen, passionné de musiques électroniques et de sons du vide, a réussi à négocier une semaine de studio avec l’équipe de The People Radio.
Son idée ? Rassembler des artistes venus d’horizons différents — mineurs, techniciens, rêveurs, chanteuses, producteurs — et voir ce qui se passerait si tout le monde
jouait dans la même fréquence pendant une semaine.

Personne ne savait trop à quoi s’attendre.
Ils sont venus les uns après les autres :
Kovah Redd, Lyra Nhadra, The Scrapliners, Madi Roa, Darren Anders, SubLight Shift
Tous indépendants, tous porteurs de leurs histoires, leurs cicatrices et leurs sons.

Avant même d’imaginer SubOrbital Records, Nok avait déjà croisé chacun d’eux au fil des années, dans les studios de TPR ou dans les couloirs de Levski, dans une station…. Une prise micro refaite à la volée, un synthé capricieux qu’il dépannait, un ampli bricolé avec les Scrapliners… Rien d’officiel, jamais vraiment planifié. Des fragments de rencontres, discrets mais sincères, qui ont fini par dessiner une constellation — bien avant qu’ils ne jouent ensemble pour la première fois.

Ce qui devait être un simple test devint une expérience collective : une semaine de musique, de rires, de nuits blanches, de discussions sans fin et d’improvisations magiques.
Les micros tournaient sans arrêt, captant des voix, des vibrations, des confidences.
À la fin, Nok n’avait pas juste des pistes audio : il avait
une famille sonore.

“It started as a session.
It became a constellation.” —
Nok Varen


🎧 La compilation : “Across the Clouds”

De cette semaine hors du temps est née la première compilation du label : Across the Clouds.
Une traversée musicale entre systèmes et sensibilités, un portrait collectif du Verse vu par ceux qui l’habitent, le travaillent et le rêvent.

Chaque morceau porte une émotion distincte :

Chacun y a trouvé sa place, sans hiérarchie ni contrainte.
Le résultat n’est pas un album parfait — c’est une
carte émotionnelle du Verse, pleine de sincérité, d’imperfections et de beauté.

“They didn’t record an album.
They recorded a week of their lives.” —
The People Radio


🧬 Philosophie

SubOrbital n’est pas un label comme les autres.
C’est un
abri sonore pour ceux qui vivent entre les signaux.
Aucun contrat, aucune façade, juste des gens qui se retrouvent pour enregistrer ce qu’ils ressentent.
Leur devise officieuse circule souvent sur les ondes pirates :

“If it hums, it lives.”

Chaque artiste garde sa liberté, ses projets, sa voix.
Mais tous savent que, quelque part, un canal reste ouvert — un signal commun, prêt à capter leur prochaine histoire.


🎚️ L’équipe & le studio

Le studio principal de SubOrbital est mobile, installé tour à tour à GrimHEX, Delamar, ou à bord d’un Starlancer MAX réamenagé.
Il n’a rien d’un complexe de luxe : câbles apparents, consoles rafistolées, éclairage tamisé.
Mais l’acoustique y est parfaite pour ce que Nok cherche : la sincérité du son brut.

“We don’t polish. We preserve.”

L’équipe technique se compose de Nok, parfois aidé de Vex Ardin (SLS) pour le mixage, et de Kovah pour les arrangements vocaux.
Les autres artistes viennent quand ils veulent, la porte est toujours ouverte — tant qu’ils apportent un câble, une idée ou une histoire.


🪞 Ce que SubOrbital représente

“It’s not about fame. It’s about finding a signal that feels like home.” — Lyra Nhadra


💡 Lore complémentaire

📀 Discographie sélective

🎶 Fiche Lore – Suborbital Records Artist

🪐 Nom de scène

Lyra Nhadra

“Every orbit carries a story — I just learned to sing mine.”


🌤️ Origine

Orison, Crusader
 Âge : début de trentaine
Label :
SubOrbital Records
 Genre : Cinematic Pop / Atmospheric Electronica
 Titres notables : Leaving Pyro, Same Sky


🌌 Biographie

Lyra Nhadra est une chanteuse et compositrice originaire d’Orison, connue pour sa voix claire et sa manière de tisser des paysages émotionnels dans ses morceaux. Citoyenne du ciel, elle a grandi entre les plateformes flottantes et les couchers de soleil dorés de Crusader. Mais c’est en traversant le système Pyro, sur la route de Nyx, qu’elle a trouvé l’inspiration de sa carrière.

Son transport civil a dû effectuer plusieurs haltes dans des zones instables — là où les transmissions se brouillent, où les balises clignotent dans le vide, et où les voix se perdent entre deux fréquences. Ces moments suspendus, mêlant peur et émerveillement, ont donné naissance à Leaving Pyro, écrite et composée intégralement à Levski, dès son arrivée.

Depuis, Lyra se produit un peu partout dans le ‘Verse : sur les stations, dans les dômes de New Babbage, ou parfois même à travers les ondes libres de The People Radio. Elle aime ces espaces sans frontières où les voix voyagent plus librement que les vaisseaux.


🎧 Style musical & influences

Lyra compose une cinematic pop empreinte d’atmospheric electronica. Sa musique se construit comme un ciel changeant : lumineuse, vaste, parfois traversée d’ombres. Les synthés y respirent lentement, les percussions se font lointaines, et la voix flotte au-dessus, à la fois fragile et assurée.

Elle cite souvent l’observation comme première source d’inspiration : le vol des navettes d’Orison, le murmure du vent entre les dômes, les transmissions déformées des balises spatiales.

Sa musique est une forme de navigation émotionnelle — un art de lire les courants du cœur comme ceux des nuages.


🧬 Signature artistique

Lyra est une narratrice du mouvement. Ses chansons racontent les départs, les silences, les retours différés. Elle compose la mélodie sur son piano, puis arrange le tout des semaines plus tard depuis la console de mixage de son 300i.

Sur scène, elle privilégie les atmosphères intimistes : lumière dorée, visuels projetant des aurores mouvantes, et une mise en scène simple où la voix reste au centre.

“Chaque chanson est une escale. Rien n’est figé, tout continue de dériver.”


🛠️ Carrière

Après le succès inattendu de Leaving Pyro, Lyra a rejoint SubOrbital Records, séduite par l’esprit libre et collaboratif du label. Elle y a trouvé un écho naturel auprès d’artistes comme Kovah Redd, avec qui elle partage un goût pour l’introspection et les récits humains. Leur implication sur Across the Clouds à engendrée un amitié forte et il est possible qu’un prochain titre en duo voit le jour.


🪞 Thèmes & messages

“There’s beauty in departure — if you dare to look back one last time.”


🔭 Perspectives futures

Lyra devrait collaborer avec SLS sur un projet à venir, Signal Run, un titre plus rythmique où sa voix s’ancre dans une texture synthwave assumée. Ces collaborations confirment sa place singulière : une passerelle entre l’émotion pure et la modernité électronique.


📀 Morceaux clés

🎶 Fiche Lore – Suborbital Records Artist

🪐 Nom de scène

Kovah Redd

“I don’t write songs. I collect echoes.”


🌌 Origines

Native de Bloom, un monde où les gangs s’affrontent encore et toujours depuis la chute de Pyrotechnic Amalgamated. Elle a grandi dans un avant-poste contrôlé par les HeadHunters — un lieu où la musique n’était pas un art, mais un moyen de tenir bon. Fille de deux techniciens itinérants, Kovah a quitté Bloom après un affrontement entre gangs armés qui a coûté la vie à plusieurs civils, dont son frère.

Elle a pris un transport pour Stanton, trouvant refuge à GrimHEX, où elle a commencé à écrire ses premiers textes — bruts, viscéraux, emplis d’images et de silences, sans réel but au départ, juste “pour vider son sac”. Aujourd’hui, elle vit à Lorville, dans une petite unité résidentielle qu’elle quitte souvent pour s’isoler sur les routes ou dans des hangars abandonnés afin de composer.

“Il faut parfois quitter la lumière pour entendre ce qu’on porte encore dans l’ombre.”


🎧 Style musical & influences

Kovah sculpte une dark electro pop cinématique, un mélange subtil entre puissance émotionnelle et douceur vocale. Ses morceaux racontent des histoires vraies : des fragments de vie, de rédemption, ou de dualité morale — comme dans Hunter’s Line, où un chasseur de prime fait face à la mort de ses cibles et à sa propre conscience.

Sa musique mêle basses sombres, rythmes mesurés et nappes de synthé atmosphériques. La structure est pop, mais la texture est cinématique : chaque morceau évoque une scène, un regard, un instant suspendu. Sa voix, à la fois forte et apaisante, enveloppe le chaos sans jamais le dominer.


🧬 Signature artistique

Kovah écrit pour ceux qu’on oublie. Sa voix — claire, vibrante, empreinte de sincérité — raconte les blessures du passé sans artifice. Elle compose avec la précision d’une ingénieure et la sensibilité d’une témoin. Chaque chanson devient un récit : des vies croisées, des destins brisés, des instants d’espoir au milieu du vacarme.

Son style visuel reste sobre : vêtements sombres, lumière diffuse, plans fixes. Ses apparitions publiques sont connues pour créer des moments suspendus, où le temps semble ralentir et le public se laisse happer par son univers.


🛠️ Backstory

Après la perte de son frère, Kovah a traversé une longue période d’errance entre les stations de Pyro et les docks de Stanton. Ses premiers textes, griffonnés sur des carnets de maintenance, ont attiré l’attention d’autres musiciens nomades. C’est à GrimHEX qu’elle a rencontré Nok, qui lui a proposé de l'accompagner et enregistré l’un de ses morceaux. Son premier single, Hunter’s Line, a immédiatement trouvé un écho dans le public indépendant de Stanton, propulsant son nom au-delà des cercles underground.


🎤 Réputation & collaborations

Kovah est devenue essentiel à Suborbital Records, tant pour ses performances sobres et émotionnelles que son ecriture. Elle a collaboré à l’écriture de Across the Clouds – une session improbable rassemblant les artistes de SubOrbital Records..

Une rumeur circule au sujet de son prochain titre, inspiré d’une histoire d’amour, marquant peut-être une nouvelle phase de sa carrière — plus intime, plus lumineuse.


🪞 Thèmes & messages

Kovah ne cherche pas à consoler — elle cherche à révéler.


🔭 Perspectives futures

Kovah prépare un nouveau projet dont peu d’informations ont filtré. Certains parlent d’un EP dédié à l’amour sous toutes ses formes : la passion, la perte, la survie à deux dans un monde en ruine. D’autres évoquent un projet visuel sur la mémoire des lieux, avec des enregistrements réalisés à bord de vieux transports désaffectés.

Quelle que soit la direction, une chose est certaine : Kovah Redd ne chante pas toujours pour divertir. Elle chante pour témoigner.


📀 Morceaux clés

🎶 Fiche Lore – SubOrbital Records Artist

🪐 Nom de scène

Madi Roa

“I never meant to sing — I just did it once, and they never let me stop.”


🌍 Origine

Lorville, Hurston
 Âge : fin de vingtaine
Rôle :
Voix secondaire & coordinatrice de terrain pour les Scrapliners
 Label : SubOrbital Records
 Titres notables : Duct Tape Dream, Across the Clouds


🚀 Biographie

Avant d’embarquer sur le Patch Job, Madi Roa travaillait comme opératrice sur les quais de déchargement de Lorville. Elle passait ses journées à gérer des cargaisons, enregistrer des codes et écouter les propulseurs des cargos qui s’éloignaient dans le smog. Elle chantonnait parfois, pour se donner du courage, sans se douter qu’une de ces mélodies changerait sa trajectoire.

Un jour, alors qu’elle fredonnait sur les quais, les Scrapliners — quatre techniciens devenus recycleurs — se sont mis à chanter par-dessus, pour rire. L’improvisation s’est terminée en éclats de voix, puis en promesse de se revoir.

Quelques jours plus tard, ils l’ont invitée à bord de leur Reclaimer pour une session d’essai. Le morceau s’appelait Duct Tape Dream — une chanson hommage à la débrouille et aux rafistolages improbables. Madi hésitait, mais Jax lui a “gentiment forcé la main” pour qu’elle chante à ses côtés. Ce qu’ils ont entendu les a laissés sans voix : une clarté rare, naturelle, sincère.

“On voulait qu’elle pose sa voix. On a trouvé de l’or sous la poussière.”

Depuis, le groupe tente de la convaincre de devenir membre à part entière, mais Madi refuse — elle préfère rester discrète, “juste la petite voix derrière les moteurs”. Les Scrapliners n’ont pas dit leur dernier mot : ils comptent bien la faire rechanter.


🎧 Style & rôle musical

Madi ne chante pas pour briller. Sa voix, douce et pure, s’accorde naturellement au ton chaleureux et cabossé des Scrapliners. Elle se tient toujours un pas en retrait, intervenant sur quelques refrains ou harmonies, comme un écho humain dans leur univers mécanique.

Sur Duct Tape Dream, son duo avec Jax apporte une émotion inattendue à ce morceau de bricoleurs — une touche fragile et sincère au milieu du vacarme des broyeurs. Sa voix flotte, apaisante, entre humour et mélancolie.

Peu après, lors d’une pause de studio avec SubLight Shift, elle prêta sa voix à une improvisation rythmique qui inspira plus tard à Nok Varen le remix The Line Below — un moment simple, capté sur le vif, devenu une trace essentielle de sa sensibilité.

Pour Across the Clouds, Madi a de nouveau accepté de prêter sa voix. Participer à cette session entourée de Kovah Redd, Lyra Nhadra, et d’autres compositeurs l’a profondément marquée. Elle a été touchée par la complicité, la bienveillance et le soin apporté aux moindres détails de cette création collective.

“C’était fou… entendre toutes ces voix, tous ces univers, se fondre ensemble.
Je n’avais jamais ressenti ça — comme si tout le ‘Verse chantait d’un seul souffle.”


🧬 Personnalité & place dans l’équipage

Madi est le calme dans le chaos. Elle gère les autorisations sur les sites de recyclage, veille à la sécurité du Patch Job, et s’assure que les Scrapliners ne finissent pas coincés à un checkpoint pour une paperasse oubliée. Sa présence apaise les tensions, son humour discret équilibre les débordements des Rourke et de Crank.

Une complicité sincère s’est développée entre elle et Jan “Switch” Aroden, le claviériste du groupe — une histoire pleine de silences, de regards, et de non-dits que personne n’a besoin de commenter.

“Ils disent rien. Mais quand elle chante, il sourit. C’est suffisant.”


💀 Imagerie & symbolisme

Madi n’a pas d’emblème officiel. Sur les visuels des Scrapliners, elle apparaît souvent à l’arrière-plan, floue, ou simplement représentée par un micro suspendu à une clé à molette. Elle n’a jamais voulu d’alias ni de logo : “Je fais partie du décor, et c’est très bien comme ça.”


🪞 Thèmes & messages

“Je ne chante pas vraiment.
Je respire un peu plus fort, c’est tout.”


🔭 Perspectives futures

Madi continue de voyager avec les Scrapliners, refusant les projecteurs mais jamais les refrains. Un nouveau titre est en préparation pour The Scrapliners, elle chantera à nouveau — peut-être à contrecœur, sûrement avec sincérité.
Les fans espèrent qu’elle finira par accepter une place officielle dans le groupe, mais pour l’instant,
elle reste l’ombre bienveillante du Patch Job.


📀 Morceaux clés

🎸 The Scrapliners – Line-up officiel

“If it’s broken, we’ll fix it. If it’s fixed, we’ll sing about it.”


🌍 Origine

Lorville, Hurston
 Membres : 4 (+1 membre d’équipage : Madi Roa)
Âge moyen : fin de vingtaine / début de trentaine
Genre :
Indie Rock / Space Folk / Salvage Blues
 Label : SubOrbital Records
 Titres notables : My Ship, My Mess, Still My Mess, My Mess in Flames, Duct Tape Dream


🚀 Biographie

Les Scrapliners sont une bande de copains comme on n’en fait plus.
Deux frères, deux amis de longue date, et un vieux Reclaimer rafistolé transformé en atelier flottant, studio de fortune, et parfois… en scène.

Tous quatre étaient techniciens de maintenance à Lorville, spécialisés dans la réparation de modules de propulsion et d’équipements industriels.
Vers leurs vingt-cinq ans, las des tours grises et de la hiérarchie étouffante de Hurston, ils décident de
quitter la planète et de se lancer dans le recyclage spatial.
Ils rachètent un
Aegis Reclaimer d’occasion, un monstre cabossé qu’ils baptisent Patch Job.

Depuis, ils sillonnent les débris du système Stanton, vivant de récupération et de musique.
Pendant leurs longues sessions de salvage, ils avaient pour habitude de
chanter pour se motiver — jusqu’à ce que ces chansons deviennent, presque malgré eux, leur identité.

“Quand on passait huit heures à broyer des coques, fallait bien trouver un rythme.”


🧰 Membres


🎙️ Madi Roa – Voix secondaire & opérations de terrain

Madi travaillait comme opératrice sur les quais de déchargement de Lorville lorsqu’elle croisa pour la première fois les Scrapliners. Elle fredonnait distraitement pendant une pause ; les frères Rourke l’ont entendue et se sont mis à chanter par-dessus.
Le courant est immédiatement passé.

Quelques jours plus tard, ils l’ont invitée à bord du Patch Job “pour rigoler un peu” — et c’est là qu’elle a posé sa voix sur ce qui deviendrait plus tard Duct Tape Dream.

“Ils m’ont dit que je chantais bien. J’ai cru qu’ils plaisantaient.”

Madi ne se voyait pas chanteuse, mais le groupe l’a convaincue de rester. Depuis, elle fait partie de l’équipage : elle gère les autorisations sur les sites de recyclage, la logistique, et prête parfois sa voix sur scène. Elle chante peu, toujours avec pudeur, mais ses interventions marquent chaque morceau d’une émotion rare.

Pour la compilation No Safe Jump, Nok lui a demandé d’enregistrer quelques vocalises. Elles ont été intégrées à No Safe Jump, le morceau électro dédié au low fly, bouclant ainsi la boucle entre la mécanique et la poésie.

Une complicité s’est naturellement installée entre Madi et Jan “Switch” Aroden — rien d’officiel, mais tout le monde dans l’équipe a remarqué les regards et les sourires échangés.

“Elle est la petite voix qu’on n’entend pas toujours… mais qu’on n’oublie jamais.”


🎧 Style musical

Leur musique est un savant mélange d’indie rock, de folk spatial et de salvage blues. Ils s’inspirent des sons issus de leur environnement de travail : le rythme des  chocs étalliques, la mélodie du souffle des broyeurs, la note cachée derrière les vibrations des propulseurs.
C’est une musique vivante, cabossée, chaleureuse — le reflet exact de leur quotidien.

La trilogie “My Mess” (My Ship, My Mess, Still My Mess, My Mess in Flames) n’a rien de tragique : c’est une hommage plein d’humour à la philosophie Drake Interplanetary — la débrouille, la liberté et l’art de vivre avec ce qu’on a sous la main.

“Si c’est cassé, on répare. Si c’est moche, on en fait une chanson.”


🛠️ Leur univers

Leur vaisseau, le Patch Job, est un musée volant de bricolage spatial :
des guitares suspendues à des tuyaux, des caisses de bière qui servent de sièges, des LED scotchées aux conduites d’air.
Leur logo, une
clé à molette ailée, trône sur la coque — symbole d’humour et de survie.

Leur amitié est ce qui fait tourner le moteur.
Rien n’est parfait à bord, mais tout fonctionne — à sa manière.


🪞 Thèmes & messages

“We don’t fix ships. We fix bad days.”


🔭 Perspectives futures

Les Scrapliners enregistrent actuellement leur prochain EP, “Gravity & Beer”, à bord du Patch Job.
Madi y prêtera probablement à nouveau sa voix, tandis que
Rigg et Switch travaillent sur une sonorité plus claire, mêlant leurs racines brutes à des arrangements planants inspirés de leurs voyages récents.

Le groupe reste fidèle à sa devise : tant que ça vole, ça joue.

🎶 Fiche Lore – SubOrbital Records Artist

🪐 Nom de scène

SubLight Shift


🌍 Origine

New Babbage, microTech
 Membres : Juno & Vex Ardin
 Genre : Drum & Bass / Neurofunk / Techno Hybrid
 Label : SubOrbital Records
 Titre notable : Burning Thrust (feat. Kovah Redd)


🚀 Biographie

Nés à New Babbage, Juno et Vex Ardin ont grandi entre le verre et la neige, bercés par le ronronnement des propulseurs et le battement régulier des serveurs MicroTech. Ensemble, ils forment SubLight Shift — un duo aussi insaisissable qu’hypnotique, capable de transformer le langage des machines en émotion pure.

Avant leur rencontre avec Nok Varen, les frères Ardin se produisaient anonymement dans les bars enfouis de la cité glacée, testant leurs sons sous forme de “telemetry packs” — des fichiers instrumentaux diffusés en ligne comme s’il s’agissait de données techniques. Leur esthétique était déjà là : rythme chirurgical, tension froide, et précision émotionnelle.

Un soir, après une session au Wally’s Bar, ils décident d’enregistrer l’improvisation qui venait de faire vibrer la salle. Cette base deviendra le cœur de leur premier grand morceau : Burning Thrust.


🔊 Burning Thrust (feat. Kovah Redd)

Quelques semaines plus tard, Nok Varen les contacte : il cherche “une énergie neuve” pour un essai en studio à Levski. Les deux frères prennent la route, leur prototype sonore sous le bras. Lorsqu’ils arrivent, Kovah Redd est en pleine session d’enregistrement de Hunter’s Line. Ils s’arrêtent pour écouter. Le timbre grave et vibrant de Kovah traverse la paroi vitrée, et les deux frères se regardent — la même idée au même instant.

“That voice… that’s the missing frequency.” — Juno Ardin

Ils lui font écouter leur morceau inachevé. Elle hésite, puis accepte d’essayer. En quelques prises, Burning Thrust trouve sa forme : une voix humaine dans le tumulte mécanique, un dialogue entre chaleur et vitesse. Le morceau deviendra l’un des emblèmes du label, symbole de l’union entre la rigueur de MicroTech et la sincérité brute de Pyro.

“They didn’t mix a track — they sparked a reactor.” — Nok Varen


🎧 Style & esthétique

Leur univers sonore est cinétique : basslines tendues, textures mécaniques, rythmes quantifiés avec une précision d’ingénieur. Mais sous cette surface glacée, bat un cœur sincère — celui de deux frères fascinés par la beauté du mouvement.

Sur scène, SLS apparaît toujours masqué. Casques opaques, projections holographiques inspirées des systèmes de navigation, lumière stroboscopique rythmée au BPM : chaque set est une immersion dans une symétrie parfaite entre machine et émotion.
Ils ne parlent pas. Ils calculent.

“They don’t perform. They synchronize.”


❄️ The Cryolab

Leur studio, surnommé The Cryolab, est installé sous la glace de New Babbage, alimenté par la chaleur résiduelle des conduits de refroidissement MicroTech. L’endroit est minéral, silencieux, presque sacré. C’est là qu’ils composent leurs morceaux, souvent en parallèle, reliés par un réseau local chiffré qui synchronise leurs sessions et, dit-on, leurs pensées.

Personne n’a jamais vu leur visage, pas même Nok. Il dit simplement :

“You don’t need to see them. You just feel the pulse.”


🧬 Personnalités

Leur lien fraternel est leur véritable moteur — une forme d’harmonie instinctive impossible à reproduire.


💀 Performances

SLS joue régulièrement au Wally’s Bar et dans divers clubs du réseau orbital MicroTech. Leur public est composé de pilotes, d’ingénieurs, et de rêveurs attirés par la vitesse. Chaque set est un test : ils expérimentent en live avant de verrouiller les morceaux en studio.

À la fin de chaque performance, ils quittent la scène sans un mot — juste un signal visuel sur l’écran :

TRANSMISSION ENDED_


🪞 Thèmes & messages

“Speed isn’t escape. It’s connection.” — Vex Ardin


🔭 Perspectives futures

Après Burning Thrust, SLS travaille sur un nouveau projet intitulé “Pulse Ratio”, une exploration rythmique des communications intersystèmes : un signal audio réel capté entre Stanton et Pyro — réinterprété comme un battement, une preuve que même les ondes voyagent en cadence.
Des collaborations futures avec
Lyra Nhadra et Darren Anders sont déjà envisagées.


📀 Morceaux clés

🎶 Fiche Lore – SubOrbital Records Artist

🪐 Nom de scène

Darren Anders

“I used to listen to the rocks. Now I listen to the silence.”


🌍 Origine

microTech, système Stanton
Âge : 56 ans
Ancien métier :
Capitaine d’Argo MOLE (et mineur)
Genre : Space Blues / Folk Rock
Label : SubOrbital Records
Titre notable : Frontier Blues


🚀 Biographie

Darren a passé plus de la moitié de sa vie dans le vacarme des propulseurs et le grondement d’un laser de minage. Capitaine d’un Argo MOLE qu’il pilote toujours, il sillonne les champs d’astéroïdes de Stanton et les confins de Pyro, creusant le vide pour nourrir un système qui oublie vite ceux qui le maintiennent debout.

Sa vie est rythmée par le cycle du minage et du raffinage. Entre deux runs, il pose sa guitare sur ses genoux et improvise. Ses chansons naissent dans les silences des raffineries, pendant que le minerai se transforme et que la fatigue retombe.

“Y’a pas de scène, pas de public. Juste moi, un thermos, et le bruit du compresseur.”

Il a tout vu : des jeunes mineurs pleins d’espoir, des vétérans incapables de décrocher, des âmes fatiguées qui trouvent dans le bruit des lasers leur seule forme de paix. Lui n’a rien à prouver — juste à transmettre un peu de chaleur dans le froid du vide.


🎧 Style musical & influences

Sa musique est celle des couloirs pressurisés et des visières embuées : des accords simples, des mots vrais, une voix usée mais sincère. Son style, quelque part entre le space blues et le folk des stations, parle de solitude, de courage et de résilience.

“Il ne joue pas le blues. Il respire le blues.” — Nok Varen, SubOrbital Records


🛠️ Parcours

Toujours actif comme mineur indépendant, Anders monte son équipage au besoin : de jeunes recrues cherchant à apprendre, des vétérans souhaitant un dernier contrat, des âmes de passage. Il leur transmet ses techniques, son calme, et surtout sa philosophie :

“Tu creuses pas pour devenir riche. Tu creuses pour comprendre jusqu’où t’es prêt à aller.”

Il vit entre MIC L5 et Orison, où il profite parfois des rares pauses sans gravité pour jouer quelques notes dans le silence suspendu.


💿 Frontier Blues

C’est un morceau simple, presque fragile. Pas de production luxueuse, juste une guitare fatiguée, une voix qui raconte. Un blues spatial sur la fatigue, la beauté du vide, et le courage discret de continuer. C’est cette authenticité brute qui a attiré Nok Varen, lorsqu’il est tombé sur Darren au détour d’une raffinerie et lui a immédiatement proposer d’intégrer la compilation Across the Clouds. Ce dernier a accepté, “à condition de ne pas devoir se coiffer pour venir”.


🧬 Personnalité

Sous ses airs taciturnes, Anders cache un cœur généreux. Il aide souvent les jeunes mineurs en difficulté, leur offrant carburant, conseils ou parfois un repas chaud dans la soute du MOLE. Il parle peu, mais chaque mot compte. Il garde sur lui la photo de sa fille, engagée dans la Navy de l’UEE, avec laquelle il échange rarement. Peut-être est-ce pour elle qu’il a accepté de rejouer, ou pour Kovah et Madi, qui lui rappellent cette part d’humanité qu’il croyait perdue.

“Ces deux-là ont ce truc.
Pas juste la voix, mais la vérité qu’il y a derrière.
J’crois que ça m’manquait.”


💀 Imagerie & symbolisme

Pas de logo, pas de tenue de scène. Seulement son Argo MOLE, The Iron Gospel, silhouette familière autour de MIC L5. Sur la carlingue, une seule inscription gravée à la main :

“If it hums, it lives.”

Son unique guitare, un vieux modèle usé qu’il transporte partout, est réparée au ruban adhésif. Il la surnomme Dustline.


🪞 Thèmes & messages

“The Verse forgets fast.
That’s why I sing slow.”


🔭 Perspectives futures

Après la compilation Across the Clouds, Anders a confié vouloir enregistrer un nouveau morceau. Il aimerait y inviter Kovah Redd ou Madi Roa, dont la sincérité lui rappelle celle de sa fille. Pas de promesse, pas de calendrier — juste un homme et sa guitare, entre deux raffinages, quelque part entre MIC L5 et les étoiles.


📀 Morceaux clés

🎶 Fiche Lore – SubOrbital Records Artist

🪐 Nom de scène
 Nok Varen
 “Built on static. Born in drift.”

🌍 Origine
 Levski, Delamar
Rôle : Producteur, ingénieur du son, collecteur de transmissions
Genre : Melodic Progressive House / Ambient Techno
Label : Fondateur de SubOrbital Records
Titres notables : No Safe Jump, The Line Below (Remix)


🚀 Biographie

Nok Varen est né dans le brouillard des docks de Levski, au milieu du bruit des moteurs et des communications radio incomplètes. Technicien de maintenance devenu opérateur de capteurs, il a toujours eu une fascination pour les sons du vide : les interférences, les pulsations, le rythme naturel des propulseurs.

Grand amateur de musique électronique sous toutes ses formes, il passait ses rares moments de repos à écouter The People Radio, fasciné par les artistes qui transformaient le chaos du Verse en mélodies. C’est en discutant avec l’équipe de la station qu’il réussit, presque par miracle, à négocier une semaine de studio dans une cabine isolée. Il ne savait pas encore exactement ce qu’il allait y faire — seulement qu’il voulait enregistrer le bruit du monde.

C’est au cours de cette semaine expérimentale qu’il commença à détourner un vieux module audio génératif abandonné dans un coin du studio : le Star Unit NOise Engine (S-UNO), un appareil conçu pour analyser des transmissions techniques et générer des schémas harmoniques basés sur des données brutes.
Nok le modifia, le recabla, et apprit à le “piloter” comme un instrument.
S-UNO ne compose rien seul ; il propose, murmure, suggère. Nok filtre, ajuste, détruit et reconstruit.
De cette complicité née du hasard, S-UNO devint son outil d’assemblage, son laboratoire spectral.

De cette expérience naîtra SubOrbital Records, un projet fragile et sincère : un label dédié à celles et ceux qui vivent “entre les fréquences”, à la frontière entre travail et art, entre dérive et création.

“He built a label the same way he built engines — one part at a time.” — Madi Roa


🎧 No Safe Jump

Premier titre officiel signé Nok Varen, No Safe Jump résume toute sa philosophie :
une progressive house profonde, presque contemplative — une musique de tension et de relâchement, inspirée par ces secondes suspendues avant un saut quantique. Ce moment où tout peut s’effondrer, ou tout peut commencer.

Le morceau a été masterisé à la hâte dans le petit studio prêté par The People Radio, avec des outils qu'il ne maîtrisait pas encore, une patience infinie, et ses premières expérimentations avec S-UNO, utilisé pour générer la base harmonique du break.

Ce fut le point de départ : No Safe Jump devint le premier signal identifiable de SubOrbital Records — la note zéro.


🔊 The Line Below (Remix)

L’idée du remix est née presque par accident. Pendant une pause d’enregistrement, les frères Juno et Vex Ardin de SubLight Shift travaillaient sur un prototype rythmique, tout en tentant de faire chanter Madi Roa — ce qu’ils finirent par réussir. En écoutant la prise, Nok sentit immédiatement quelque chose : une beauté fragile, enfouie dans le mouvement.

Il reprit la session sur le pouce, isola la voix de Madi, ralentit le tempo, filtra les basses et tissa un espace autour.
S-UNO fut utilisé pour générer une texture granulaire autour des respirations de Madi, donnant au morceau sa profondeur spectrale.

Le résultat, intitulé The Line Below, révéla une dimension nouvelle — moins technique, mais profondément émotionnelle.

Les Ardin adorèrent, et Madi rit en disant :

“It sounds like a dream I don’t remember having.”

Le remix devint culte entre eux — un pont entre la froideur mécanique de SLS et la douceur humaine de Madi, symbole de ce que SubOrbital allait devenir.


🧬 Philosophie sonore

Varen ne compose pas pour remplir le silence. Il enregistre la respiration du Verse :
les transmissions perdues, les battements de moteurs, les silences des pilotes solitaires.

Ses morceaux sont faits d’échos, de fragments, de rythmes imparfaits — le reflet exact de la vie qu’il capture.

“I don’t produce tracks. I archive moments.”

Il décrit sa musique comme une cartographie émotionnelle du vide, où chaque fréquence est un souvenir, et chaque souffle une histoire.

Et S-UNO ?
Un outil, rien de plus. Rien de moins.
Un moteur de bruit.
Un filtre entre le monde et sa mémoire.


🛠️ Le studio mobile

Après la création du label, Nok a déplacé son matériel dans un studio itinérant, souvent amarré entre GrimHEX et une station non répertoriée.
Son équipement, tout en récupération, est presque légendaire :

Rien de parfait. Rien d’homogène.
Mais tout a une âme.


💡 Identité & alias

Lorsqu’il travaille sur des remixes ou des réinterprétations plus abstraites, Nok signe sous le pseudonyme NKVN — un alias discret.
Il n’aime ni les projecteurs ni les crédits.
Il préfère rester le signal derrière les artistes, celui qui capte ce que les autres ne perçoivent pas.


🪞 Thèmes & messages

“If the Verse ever stops spinning,
SubOrbital will still hum.” —
Nok Varen


🔭 Perspectives futures

Varen travaille actuellement sur un projet baptisé Resonant Paths, basé sur de véritables signaux de détresse et enregistrements d’urgence captés à travers Pyro et Nyx.
Chaque morceau sera une reconstitution, un hommage aux voix qui se sont perdues entre les étoiles.

Il décrit le concept d’une phrase simple :

“I don’t want to save them. I just want them to be heard.”

🎵 SAME SKY

“Different places. Same sky.”
Artiste principale : Lyra Nhadra
Participants : Jax & Rigg Rourke (The Scrapliners)
Production : Nok Varen
Genre : Melodic Electro-Pop / Indie Folk Fusion
Label : SubOrbital Records


🌌 Genèse du morceau

“Same Sky” n’était pas prévu.
C’était un simple essai de voix pour Lyra Nhadra, enregistré dans
l’une des petites cabines analogiques des studios de The People Radio, durant la fameuse semaine obtenue par Nok Varen.
Une chanson intime, en construction — un refrain fragile sur la distance et la résonance entre les mondes.

Pendant la session, Jax Rourke des Scrapliners, qui errait entre deux couloirs de TPR avec un café tiède à la main, s’est arrêté derrière la vitre.
Il a écouté quelques secondes, frappé doucement à la porte et lancé :

“Tu veux pas que j’essaie un truc ?”

Nok, hilare, lui a ouvert la cabine voisine.
Quelques minutes plus tard,
Rigg s’était déjà installé avec une vieille guitare récupérée dans la réserve d’instruments de TPR, l’accordant à l’oreille.
Lyra a souri, un peu surprise, puis a recommencé à chanter.

En moins d’une heure, tous trois improvisaient ensemble :
une ligne de basse simple, une guitare flottante, des harmonies brutes et une émotion impossible à feindre.

“It wasn’t a session. It was a moment.” — Nok Varen


🎧 Composition

Ce qui devait être une nouvelle chanson solo de Lyra s’est transformé en un mini trio improvisé, capté à chaud par Nok. La structure a ensuite été retravaillée pour conserver l’énergie et l’imprévu de cette rencontre :

Nok résume le résultat simplement :

“It sounds like friendship.”


🌠 Signification

Same Sky parle de connexion à distance, de ces liens invisibles qui unissent les gens malgré les systèmes, les distances, ou les silences.
Lyra l’a décrite comme une “chanson-satellite” — un signal doux envoyé à ceux qui, quelque part, regardent le même ciel.

“You can be half a system away,
we still share the same sky.” —
Lyra Nhadra

Le morceau est devenu l’un des symboles du label SubOrbital Records :
non pas pour sa production, mais pour
ce qu’il représente — la rencontre, la sincérité, et le plaisir pur de créer ensemble sans plan, sans posture.

💿 Réception & héritage

Sorti en avant-première sur The People Radio, le titre a immédiatement trouvé son public.
Les auditeurs y ont reconnu cette alchimie rare entre
la voix céleste de Lyra et la chaleur des guitares Rourke.
Certains y entendent même les fondations de la future identité sonore du label.

Aujourd’hui, Same Sky est souvent surnommé “the track that started the family” —
le moment où
SubOrbital Records est passé d’un collectif d’artistes indépendants à une véritable constellation.


💡 Lore complémentaire

🎵 ACROSS THE CLOUDS

“Different ships. Same moment.”
Artistes : SubOrbital Improvised Band
Participants : Lyra Nhadra, Kovah Redd, Darren Anders, Madi Roa, The Scrapliners, SubLight Shift
Production : Nok Varen & SLS
Genre : Funky Retro Pop / Space Groove
Label : SubOrbital Records


🌌 Genèse du morceau

“Across the Clouds” n’était pas censé exister. Une semaine s'était écoulée et les onze titres du projet venaient d’être finalisés, et Nok avait obtenu une journée de studio supplémentaire chez TPR “pour écouter le mix final”. Il les contacta tous, Lyra accepta sans hésiter et partit d’Orison immédiatement après. Kovah, etant toujours à Levski, fut ravi d’avoir une occasion de revoir toute la bande. Les Scrapliners occupés à découper des blocs de Polaris suite aux affrontements récents sur Stanton et Pyro se sont mis en route. Le duo SLS, en plein set au GLoc d’Area18 on carrément quitter leur scene avant la fin. Nok laissa un message sur la Mobi de Darren, il n’y repondit jamais, il est juste venu.

Dans la petite salle d’écoute du studio orbital de Levski, l’ambiance devint vite électrique : émotion palpable, sourires timides, quelques larmes discrètes. Chacun remercia Nok pour ce voyage sonore improbable — et c’est là que tout bascula.

Sans que personne ne sache vraiment comment, Darren Anders se retrouva assis dans le studio, une guitare entre les mains. Il joua un riff chaud, presque joyeux. Les frères Rourke levèrent la tête et s’installèrent instantanément, lançant un brouillon de lignes vocales avec un fond d’accompagnement dont Jax a le secret. Nok, soudain très attentif, prit place derrière la console et pressa machinalement “enregistrer”. Les frères Ardin arrivèrent à ses côtés, comme s’ils avaient senti que quelque chose naissait.

En quelques minutes :

Ce qui devait être un simple “après-midi écoute” se transforma en session improvisée totale, dirigée à l’instinct par Nok et les Ardin.


🎧 Composition

Le morceau s’est construit comme une réaction en chaîne, chaque intervention appelant la suivante :

Nok résume toujours la session d’un seul souffle :

“It wasn’t music. It was alignment.”


🌠 Signification

“Across the Clouds” est devenu le symbole d’un moment suspendu : celui où onze artistes, venus d’horizons différents, ont partagé un instant d’unité absolue.

C’est une chanson sur l’élan commun, sur ce qui surgit lorsque personne ne joue un rôle et que tout le monde se laisse surprendre. Pour Nok, c’est “le son de la famille SubOrbital telle qu’elle s’est révélée ce jour-là”.


💿 Réception & héritage

Lorsqu’ils réécoutèrent le morceau cinq heures plus tard, personne ne parla. Juste des regards humides, incrédules. Une évidence flottait dans l’air : quelque chose de rare venait de se produire.

Beaucoup le décrivent comme le cœur du projet, la preuve qu’une constellation peut naître d’un simple riff et d’un studio plein de gens qui ne voulaient pas encore rentrer chez eux.


💡 Lore complémentaire

🎶 SUBORBITAL RECORDS — ARTISTS PACK (texte court pour la pochette)


LYRA NHADRA

“Every orbit carries a story — I just learned to sing mine.”

A voice born in Orison’s drifting glow, Lyra turns distance into melody.
Her songs trace the fragile line between fear and wonder — a reminder of the moments when the stars flicker instead of guiding.

“Leaving Pyro” was written after a detour through unstable jump points on her way to Nyx, etched from silence, static, and unsteady light.
Lyra performs wherever the wind feels high and the sky feels close.

Frequency note: Her transmissions are still replayed across TPR, carried through Levski’s comm tunnels.


LYRA NHADRA — FR

« Chaque orbite porte une histoire — j’ai simplement appris à chanter la mienne. »

Née dans la lueur dérivante d’Orison, Lyra transforme la distance en mélodie.
Ses morceaux longent cette ligne fragile entre la peur et l’émerveillement — ces instants où les étoiles vacillent sans vraiment guider.

“Leaving Pyro” est née après un détour par des points de saut instables en direction de Nyx, sculptée dans le silence, les interférences et une lumière incertaine.
Lyra se produit là où le vent est haut et où le ciel semble tout près.

Note de fréquence : Ses transmissions résonnent encore dans les tunnels de communication de Levski via TPR.



KOVAH REDD

“I don’t write songs. I collect echoes.”

A survivor from Bloom, Kovah sings in the spaces where truth has teeth.
Her voice carries the weight of borders crossed, of scars that refuse to fade, of choices that echo long after the silence returns.

Her work, “Hunter’s Line,” speaks for both the hunted and the hunters — a confession carved from lives caught between escape and consequence.
Kovah performs often in GrimHEX, where her songs belong among the lost and the listening.

Frequency note: Her fractured-bird emblem has become an underground symbol throughout Pyro’s fractured corridors.


KOVAH REDD — FR

« Je n’écris pas des chansons. Je collecte des échos. »

Survivante de Bloom, Kovah chante dans ces espaces où la vérité mord.
Sa voix porte le poids des frontières franchies, des cicatrices qui ne disparaissent jamais, et des choix qui résonnent longtemps après le retour du silence.

Son œuvre, “Hunter’s Line”, parle autant pour les traqués que pour les traqueurs — une confession sculptée dans des vies suspendues entre fuite et conséquence.
Kovah se produit souvent à GrimHEX, où ses chansons trouvent leur place parmi les perdus et ceux qui écoutent.

Note de fréquence : Son emblème de l’oiseau brisé est devenu un symbole clandestin dans les couloirs fracturés de Pyro.



MADI ROA

“I never meant to sing — I just did it once, and they never let me stop.”

Born on Lorville’s loading docks, Madi found her voice between cargo crates and propulsion fumes.
What began as a whispered rhythm to survive the shifts became a harmony that refused to stay quiet.

The Scrapliners heard her once — just once — and the Patch Job never felt the same without her voice threading through the steel and laughter.
Today, she drifts between the group’s runs and her own stories, turning workday grit into warm, unfiltered melody.

Frequency note: Her improvised hums are often caught on open mics, sampled across SubOrbital tracks.


MADI ROA — FR

« Je n’ai jamais voulu chanter — je l’ai juste fait une fois, et ils ne m’ont plus jamais laissée m’arrêter. »

Née sur les quais de Lorville, Madi a trouvé sa voix entre les caisses de fret et les vapeurs de propulseurs.
Ce qui n’était qu’un murmure pour tenir le coup durant les quarts est devenu une harmonie impossible à faire taire.

Les Scrapliners l’ont entendue une fois — une seule — et depuis, le Patch Job n’a plus jamais sonné pareil sans sa voix mêlée à l’acier et aux éclats de rire.
Aujourd’hui, elle navigue entre les trajets du groupe et ses propres récits, transformant la poussière du quotidien en mélodies chaleureuses et brutes.

Note de fréquence : Ses fredonnements improvisés se glissent souvent dans les micros ouverts, échantillonnés dans plusieurs morceaux SubOrbital.



THE SCRAPLINERS

“If it doesn’t fly, we’ll fix it. If it’s fixed, we’ll sing about it.”

Four techs from Lorville who traded grey walls for drifting stars, the Scrapliners turned a battered Reclaimer into a home, a workshop, a stage — and sometimes all three at once.
Their sound blends salvage grit with space-borne humor, forged between busted thrusters, improvised amps, and long nights drifting on the Patch Job.

Jax and Rigg Rourke lead the charge with sibling fire and steel; Crank keeps the beat like he keeps the ship running; Patch turns breakdowns into rhythm.
Madi Roa travels with them as part of the crew — not a member, but a heartbeat the ship chose for itself.

Frequency note: Recordings traced to the Patch Job often include background clanks, laughter, or the ship complaining — considered part of the style.


THE SCRAPLINERS — FR

« Si ça ne vole pas, on le répare. Si c’est réparé, on en fait une chanson. »

Quatre techniciens de Lorville qui ont troqué les murs gris pour les étoiles errantes, les Scrapliners ont transformé un Reclaimer cabossé en foyer, en atelier, en scène — parfois les trois en même temps.
Leur son mélange la rudesse du recyclage et l’humour spatial, forgé entre propulseurs récalcitrants, amplis bricolés et longues nuits à la dérive sur le Patch Job.

Jax et Rigg Rourke mènent la charge, mélange de feu fraternel et de précision ; Crank garde le rythme comme il garde le vaisseau en vie ; Patch transforme chaque panne en musique.
Madi Roa voyage avec eux comme membre d’équipage — pas du groupe, mais comme un battement de cœur que le vaisseau a choisi.

Note de fréquence : Les enregistrements issus du Patch Job comportent souvent des cliquetis, des rires ou les plaintes du vaisseau — considérés comme faisant partie du style.



SUBLIGHT SHIFT

“Rhythm is just telemetry with feelings.”

Born under MicroTech’s neon snow, Juno and Vex Ardin learned to turn machine-language into pulse and motion.
Before SubOrbital found them, they released “telemetry packs” disguised as technical data — experimental tracks hidden in plain sight.

Their sound is precise, surgical, and strangely human, like a heartbeat encoded in code.
On stage, the duo feels less like performers and more like systems syncing in real time.

Frequency note: Their signature glitch-mark appears in every track — a digital fingerprint the fans hunt for.


SUBLIGHT SHIFT — FR

« Le rythme, c’est juste de la télémétrie avec des émotions. »

Nés sous la neige néon de microTech, Juno et Vex Ardin ont appris à transformer le langage des machines en pulsation et en mouvement.
Avant que SubOrbital ne les découvre, ils diffusaient des “packs de télémétrie” déguisés en données techniques — des morceaux expérimentaux cachés à la vue de tous.

Leur son est précis, chirurgical, et étrangement humain, comme un battement de cœur encodé dans du code.
Sur scène, le duo ressemble moins à des performeurs qu’à deux systèmes en train de se synchroniser.

Note de fréquence : Leur marque de glitch apparaît dans chaque morceau — une empreinte numérique que les fans traquent.



DARREN ANDERS

“I used to listen to the rocks. Now I listen to the silence.”

A veteran miner who carved half his life into asteroid fields, Darren writes where most people wait — in those long refinery hours when thought drifts and the universe breathes slow.
His guitar carries the tremor of engines, the hum of lasers, and the quiet only miners know.

“Frontier Blues” was born aboard his MOLE, between Stanton’s dust and Pyro’s burn, shaped by years of drifting through routes no beacon bothers to mark.
Darren’s songs are maps: not to places, but to the person you become between jumps.

Frequency note: His recordings often include the low, warm resonance of refinery halls — intentionally left unfiltered.


DARREN ANDERS — FR

« J’écoutais les roches autrefois. Maintenant j’écoute le silence. »

Mineur vétéran qui a gravé la moitié de sa vie dans des champs d’astéroïdes, Darren écrit là où la plupart attendent — dans ces longues heures de raffinage où la pensée dérive et où l’univers respire lentement.
Sa guitare porte le tremblement des moteurs, le bourdonnement des lasers, et ce silence que seuls les mineurs comprennent.

“Frontier Blues” est née à bord de sa MOLE, entre la poussière de Stanton et les brûlures de Pyro, façonnée par des années à dériver sur des routes que même les balises ignorent.
Les chansons de Darren sont des cartes : non pas vers des lieux, mais vers la personne que l’on devient entre deux sauts.

Note de fréquence : Ses enregistrements conservent volontairement la résonance chaude et grave des halls de raffinage.



NOK VAREN

“Built on static. Born in drift.”

Founder of SubOrbital Records, Nok began in Levski’s fog-choked docks, where incomplete transmissions and engine hums became his first instruments.
A collector of signals, he turns raw interference into rhythm — proof that noise can be a kind of truth.

He united SubOrbital’s artists by offering a single week of shared studio time inside a TPR cabin, letting miners, singers, salvagers, and dreamers collide on the same wavelength.
Nok doesn’t chase stars; he listens for the quiet voices between them.

Frequency note: His mixes often retain faint comm-static from Levski — a signature he refuses to clean out.


NOK VAREN — FR

« Forgé dans le statique. Né à la dérive. »

Fondateur de SubOrbital Records, Nok a commencé dans les docks brumeux de Levski, où transmissions incomplètes et grondements de moteurs furent ses premiers instruments.
Collecteur de signaux, il transforme les interférences brutes en rythme — preuve que le bruit peut être une vérité.

Il a rassemblé les artistes de SubOrbital en négociant une semaine unique de studio dans une cabine de TPR, laissant mineurs, chanteuses, recycleurs et rêveurs se heurter sur une même fréquence.
Nok ne cherche pas les étoiles ; il écoute les voix discrètes entre elles.

Note de fréquence : Ses mixes conservent souvent un léger statique radio venu de Levski — une signature qu’il refuse d’effacer.